vendredi 28 juin 2013


     Ce soir, je vais m’intéresser au dernier album que j’ai acheté, à savoir celui d’Alex Hepburn entitulé « Together Alone ». J’ai découvert cet artiste dans une émission TV alors que sa promo battait son plein. Son tube le plus connu actuellement « Under » ne peut vous laisser de marbre ! Et je pense que vous l’avez inévitablement entendue!
    La musique est l’une des critiques les plus subjectives à donner. Par conséquent, seuls mes sentiments sont exprimés dans ce papier.

      La tessiture de sa voix est reconnaissable à part entière. Un grain de voix qui ne vous laisse pas indifférent. De mon côté, j’aime cette voix. Seul petit reproche qu’il me viendrait, les chansons plus « rock » accentuent l’éraillement de sa voix si jolie sur les ballades. Sur certaines chansons, sa façon de chanter s’approche d’Amy Winehouse ou bien encore Janis Joplin, rien que ça ! Je lui souhaite la même réussite...
       De belles chansons figurent sur cet album et les paroles sont soignées. Les mélodies ne sont pas en reste et bénéficient d’un soin particulier. De par mes préférences musicales, je suis naturellement plus attiré par ses chansons plus soft et pop que celles se rapprochant d’un rock plus traditionnel.
Parmi les chansons vraiment coup de cœur figurent les « Under » (particulièrement la version acoustique), « Broken Record », « Angelina » et « Reckless ». Ce qui représente beaucoup de chansons étant donné mes goûts difficiles en termes d’appréciation de musique ! Cela fait donc 6 (3 versions du titre « Under ») chansons sur les 13 chansons de l’album. Sur un second plan, j’ai apprécié les chansons « Miss Misery », « Pain Is », « Hold me », « Two Point Four » et « Love To Love You ». La chanson que je trouve la plus faible est « Get Heavy » : je ne l'ai pas aimée, tout simplement.

       Si vous vous intéressez à la vie de l’artiste, on ne peut s’empêcher de voir le lien entre le thème de ses chansons et son vécu personnel. Sa personne en devient attachante.


      Petit détail, la version CD matériel vous offre une version acoustique d’« Under » particulièrement réussie qui vous donnera des frissons…
Voici la liste des chansons de cet album :

      1. Miss Misery
      2. Bad Girl
      3. Broken Record
      4. Pain Is
      5. Get Heavy
          6. Love To Love You
      7. Reckless
          8. Angelina
      9. Under [Pop Version]
      10. Hold me
      11. Two Point Four
      12. Under [Radio Version]
+ Under [Acoustic Version] : Bonus Track à télécharger si vous avez acheté le CD  matériel

      C’est un très bon achat que je ne regrette en aucun cas. J’espère que je vous aurais donné envie de l’écouter et bien plus encore… L’album reçoit la note de 16/20.

Merci de votre lecture et à très bientôt !


A.

vendredi 21 juin 2013


   Bonsoir à toutes et à tous ! Chose promise, chose due ! Merci d’accueillir le dernier né de la rubrique Jeux Vidéo : j’ai nommé le test de la toute dernière exclusivité PS3 « The Last Of Us ». Ce titre a été développé par Naughty Dog (le papa de la série à succès Uncharted) et est distribué par Sony.

     C’est un jeu de type Survival-horror qui met en scène Joel et Ellie. Joel est le personnage que vous incarnerez la majeure partie du temps. Il est brun, barbu et la quarantaine passée. Ellie, quant à elle, est une jeune demoiselle de 14 ans. On se retrouve dans la région de Boston alors qu’une étrange épidémie frappe l’humanité. Je ne vous en dirai pas plus sur ce scénario, préférant vous laisser vous délecter de celui-ci !

     Vous pouvez découvrir mon avis sur ce jeu à travers différentes rubriques. J’ai attendu d’avoir fini le jeu une première fois et d’avoir du recul pour vous délivrer ce test. N’ayez pas peur, aucun spoiler qui pourrait vous gâcher le plaisir de jouer figure dans ce test.




Graphismes

     Que puis-je vous dire à part que l’on en prend plein les yeux. Le jeu est beau, tout simplement. Les cinématiques sont magnifiques avec un comportement des personnages assez impressionnant !
     Le jeu in-game n’est pas en reste et nous démontre une grande maitrise de la machine. Les décors sont beaux et très variés. Les personnages font réels et entre en interaction avec les décors. Les effets de lumières son réussis tout en mettant l’accent sur les moindres détails. Certains passages vous mettront dans le malaise alors que d’autres sauront vous émerveiller. Certes, quelques -uns dénonceront de rares textures « moins » belles mais on ne peut que reconnaitre le travail artistique qui a été réalisé sur ce titre. Très beau travail… Naughty Dog sera parvenu à maitriser la belle machine de Sony.






Jouabilité

     La jouabilité est très bonne. Un gameplay plutôt simple qui fonctionne bien. J’ai pu lire que certains trouvaient la jouabilité peu dynamique et pas assez réactive. Je pense que c’est un parti pris de la part des développeurs. Nous ne sommes pas ici en possession d’un vrai jeu d’action, de plate-forme et de survival-horror à part entière. C’est un jeu atypique qui mêle plusieurs genres tout en créant le sien. La force de l’histoire et sa narration font également penser à un Heavy Rain.

    En in-game, vous pourrez vous la jouer infiltration (plutôt conseillé), bourrine (vous serez vite limité en munitions) tout en alternant avec des QTE lors de scènes bien précises.

     Sur le plan de l’IA, je trouve la difficulté du jeu bien dosée. De nombreux modes sont présents, de quoi vous donner du fil à retordre (mode survivant notamment…). Le seul petit point à relever est encore le champ de vision assez réduit de vos adversaires mais cela reste tout de même très correct.

Modes de jeu

    Quels sont les modes de jeu ? Le mode histoire classique avec 4 niveaux de difficulté : facile, normal, difficile et enfin survivant. Il y a également possibilité de faire une partie+, à savoir conserver toutes les améliorations développées lors de la dernière partie !

     Le multi-joueurs s’appelle ici Factions et je le trouve plutôt intéressant. Bien que je ne sois pas un grand fan du multi, ce dernier change de ce que l’on peut voir dans la plupart des jeux. Il vous faudra vous « occuper » des membres de votre faction, notamment en récoltant des vivres.

    Ayant fait la réservation avant la sortie, j’ai eu droit à des petits cadeaux bonus dont l’excellente OST du titre ! Des petits plus qui font toujours plaisir.

Durée de vie

     La durée est très bonne sur ce jeu. Finir l’histoire vous prendra une quinzaine d’heures. Je ne peux que vous conseiller de profiter de ce titre… ces jeux-là ne sont pas faits pour être survolés à la hâte ! Le souci du détail vous permettra d’allonger la durée de vie de votre jeu. La recherche d’item vous permettra de refaire les chapitres. Le multi pourra également vous occuper un certain temps. De plus, si vous êtes un chasseur de trophées, comptez un peu plus de 75h pour pouvoir obtenir le platine : vous avez alors une durée de vie plus qu’honorable.

     Enfin, peu importe les trophées, avec une histoire solo d’un peu plus de 15h sur ce style de jeu, ça ne se voit jamais donc profitez-en bien ! On en a pour notre argent, c’est certain !











Bande son

      C’est l’un des gros points forts de ce titre ! La musique est belle et immersive, rien de bien étonnant quand on sait qui l’a composée… l’argentin Gustavo Santaolalla, déjà lauréat de deux oscars !

    A la musique doit s’ajouter un doublage VO tout exceptionnel ! On a l’impression de regarder un film. Les dialogues sont de plus succulents. Je ne peux me prononcer sur la VF car je l’évite au maximum dans la plupart des jeux étrangers. Je vous conseille vivement la VO (sous-titrée si nécessaire) pour une meilleure expérience de jeu.

Bugs

     Le fameux point des bugs s’offre à nous : je vais être concis, je n’en ai pas eu un seul depuis le début du jeu (vingtaine d’heures !). La MAJ 1.01 a très bien fonctionné chez moi, tout comme les trophées. Le bug de la sauvegarde qui a agité tous les joueurs ne m’a pas touché non plus. Bref, vous avez évité le pire et le jeu fonctionne parfaitement désormais. Il n’y a rien de prohibitif à déclarer sur les bugs. Quelques bugs de collisions entre Joel et Ellie peuvent arriver mais rien de bien méchant. On peut bien laisser passer ça. Pour ceux qui se plaignent de leur PS3 qui buggent souvent sur des jeux, laisser souffler de temps en temps ! Ou bien continuez et la YLOD sera vôtre !

       Je n’ai jamais eu de problèmes avec ma PS3 et ça fait plus de 5ans que je l’ai…

Scénario

     Incontestablement un autre point fort du jeu. La situation, vu de loin, c’est du vu et revu mais Naughty Dog parvient tout de même à nous surprendre et à nous servir une histoire d’épidémie rafraichissante ! C’était bien là le plus dur et le pari est gagné. La mise en scène du début de jeu et de la fin en vaut le détour. Pas ou peu de fautes de goûts en ce qui me concerne. C’est une véritable réussite. Le point le plus réussi est incontestablement pour moi les caractères des personnages ! Ellie et Joel sont juste parfaits et criant de vérité! On s’y attache et leur comportement et dialogue nous paraissent plus vrais que nature !

       Je ne dévoilerai rien de compromettant mais le scénario est vraiment de qualité dans l’ensemble ! Juste enjoy !




Conclusion

      Vous l’aurez compris, ce jeu est un véritable petit bijou pour moi… J’ai pris plaisir à y jouer tout en étant émerveillé par sa qualité. Je ne pourrais que vous conseiller de l’acheter. C’est incontestablement un « must-have » qui doit figurer dans votre vidéo ludothèque ! Je vous laisse découvrir ce jeu par vous-même, amusez-vous bien !

       Pour la note, j’hésite entre un 19/20 et le 20/20… Je vous laisse faire ce choix ! :D

A bientôt chers lectrices et lecteurs.

A.

jeudi 20 juin 2013



   Bienvenue sur mon premier post concernant les jeux vidéo ! Ce premier test concernera le dernier jeu de rugby sorti sur officiellement le 14 Juin 2013 et développé par Sidhe. C’est donc le deuxième opus du titre éponyme. Le premier avait reçu une bonne critique dans l’ensemble, proposant le plus beau jeu de rugby jamais développé. Le gameplay était plus tourné vers le rugby d’hémisphère sud.

       Revenons à cette suite : est-elle à la hauteur de nos espérances et les améliorations sont-elles notables ?




Graphismes

       Autant être clair et précis, il n’y a pas à débattre là-dessus. Le moteur graphique est le même, les cinématiques également. Seuls des ajouts d’animations in-game sont présents et font gagner le jeu en réalisme. De nombreux nouveaux stades sont également modélisés mais ne comptez pas sur les stades français… ils sont absents du jeu ! Vous l’aurez compris, ce n’est pas sur l’aspect esthétique que les développeurs ont mis l’accent.

Jouabilité

       Abordons les nouveautés sur la jouabilité ! Il y en a quelques-unes qui rendent notre jeu plus proche de ce qui se fait dans l’hémisphère nord sur le plan rugbystique. La fameuse « 89 » fait son apparition, les mauls après touche, le pick-and-go (bien qu’il soit encore améliorable), les touches rapides, se relever pour prendre le ballon après plaquage (grattage de ballons)… Ces ajouts sont sympathiques mais ils ne sont pas vraiment aboutis, juste donné tels quels. Les mêlées sont plus réalistes : on ne gagne plus 15 mètres sur une mêlée totalement ratée !

     L’essentiel du gameplay reste le même concernant le reste. Trop peu de pénalités sont sifflées. On est donc bien loin du réalisme correspondant à l’hémisphère nord. Il y a toujours les célèbres passes qui traversent la largeur du terrain entre un pilier et un second de ligne !

      Côté buteur, je trouve dommage qu’il n’y ait pas eu d’améliorations. On arrive quand même à passer des pénalités de 45m mais que c’est dur ! La difficulté ne dépend pas de l’endroit de la pénalité mais du niveau de difficulté du match. C’est aussi dur de taper des 22m en face des poteaux qu’à 35m en coin sur le mauvais pied. Où est la logique là-dedans ? Les buteurs avec une forte puissance de frappe - Carter, Wilkinson, Beauxis pour ne citer qu’eux – n’ont aucun avantage dans le jeu. Ils ne pourront pas passer des pénalités de plus de 45m. Bref, un point plus que rageant sachant que c’est le deuxième opus comme tel. Dernière contradiction pour les buteurs, c’est plus simple de passer un drop de 45m en coin que de taper une pénalité (j’ai à peu près 100% de réussite sur les drops…)

Modes de jeu

         On trouvera tous les modes de jeux classiques qui nous occuperont des jours entiers  ! Petit plus : tournée des Lions Britanniques. La carrière a été présentée comme améliorée. C’est le cas, tout du moins en apparence. En effet, on se retrouvera bien vite limité. Exemple flagrant : remporter le championnat de Pro D2 ne vous fera pas accéder au Top14. Vous resterez en Pro D2 l’année suivante. Cependant, le mode a quand même été amélioré : salaires à gérer, carrière sur 13 ans, transferts beaucoup plus réalistes…

      Le point faible et le point fort du jeu sont les licences ! Beaucoup de clubs avec licences mais sur les équipes nationales, rien à part quelques-unes. De quoi être énervé quand on sait l’importance des épreuves internationales. De plus, les joueurs n’ont pas seulement le nom qui change mais bel et bien leurs caractéristiques : cela rend la modification très pénible, laborieuse et longue… Heureusement, des patchs sont déjà là pour vous ! ;)

       De plus, les joueurs d’hémisphères nord ont reçu peu d’attention concernant leur physique. A noter que les statistiques des joueurs d’hémisphère nord sont bien plus faibles que celles des joueurs du sud ! Chauvinisme oblige ! :)

Durée de vie

        A ce niveau-là, vous n’aurez pas de soucis ! Vous passerez de nombreuses heures à jouer ! Seule la monotonie vous fera décrocher.

Bugs

      Autant être franc, il y en a beaucoup… Certains gênent plus que d’autres : des touches données à l’adversaire sans raison. Bug de collisions et des bugs où le ballon reste bloqué sont aussi servis au menu. Enfin, un problème de synchronisation des trophées était présent mais a disparu récemment. Vous aurez compris que ce n’est pas le jeu parfait côté programmation.




Conclusion

       Pour conclure, c’est un très bon jeu qui est unique sur le marché. Il ravira la plupart des passionnés afin de s’adonner à son sport préféré. Cependant, la différence entre le premier opus et le second n’est pas vraiment évidente. Des améliorations sont présentes mais sont-elles suffisantes ? C’est à chacun d’en juger… Les licences de Pro D2 ont eu raison de moi, quelle sera la vôtre ?

       Sachez tout de même que je prends plaisir à y jouer. Je suis juste un peu déçu du peu d’avancée, c’est plus une version 1.7 qu’une version 2.0. Si vous ne l’avez pas, foncez ! Je lui attribue la note de 14/20.
J’espère vous avoir donné un petit aperçu de ce jeu.

A venir, le test de "The last of us"...



A.

mardi 11 juin 2013


     Intéressons-nous à l’autre expression qui nous est proposée aujourd’hui, « un vieux de la vieille ». Là encore, nous devons nous envoler dans le passé mais bien moins lointain que celui de Barbecue ! Cette expression est en effet légèrement plus contemporaine, du XIXe siècle. Tout le monde sait le sens commun que l’expression possède de nos jours (une personne plutôt âgée qui a acquis une expérience certaine dans un domaine précis) mais il est intéressant de connaître son origine. La véritable expression d’époque était plus longue et contait ces mots « un vieux de la vieille garde ».

     Cela référait bien évidemment à la plus grande Garde que la France n’ait jamais connu, celle qui terrorisait les armées ennemies au point de les faire fuir… j’ai nommé la Garde Impériale de Napoléon Ier ! Cette Garde Impériale était une troupe d’élite créée en 1804. Elle était divisée en trois Gardes différentes : la jeune, la moyenne et la vieille. Cette dernière était bien évidemment la plus expérimentée et la plus douée. Incorporer cette Vieille Garde était un véritable privilège et honneur pour tout soldat qui se doit et seuls les meilleurs y parvenaient. Ils représentaient tout simplement l’élite du corps de l’armée française. Elle était souvent utilisée en tout dernier recours afin de débloquer l’issue d’une bataille incertaine. La Vieille Garde avait la particularité de ne se battre qu’à la baïonnette.


     Sur les dizaines et dizaines de batailles auxquelles elle a pris part, il n’a connu que de brillantes victoires mais, car il y a un « mais », elle a également connu une déroute, celle de Waterloo. Cette bataille représente sa seule et unique défaite. Le slogan très connu « La Garde meurt mais ne se rend pas » eut été dit lors de cette bataille. Bref, je m’égare ici…

   Revenons à notre expression première, après que le corps d’élite eut été dissout, ses anciens membres étaient surnommés par la population plus jeune « les vieux gardes de la Vieille Garde ». Avec le temps, l’expression a évolué et elle est devenue celle que l’on connaît aujourd’hui.

     J’espère vous avoir appris une nouvelle chose sur cette culture française si riche… Intéressez-vous, il y a encore tant à découvrir sur notre magnifique Nation. Excellente soirée à vous et à très bientôt.


A.



     Bonsoir à toutes et à tous ! 

     Nous continuons ce soir avec deux petites anecdotes historiques (l’autre est dans l’article qui suit ! :) ). Ce sont un terme et une expression dont nous allons apprendre l’origine ici, à savoir le mot « barbecue » et l’expression être « un vieux de la vieille ». L’idée de vous faire part de l’origine du mot barbecue vient d’une radio. En effet, les animateurs se sont posés cette question. Etant arrivé à destination, je ne sais pas s’ils ont eu la réponse auprès de leurs auditeurs. Cela m’a donné l’idée de poster la réponse à travers cet article.

    Commençons par le mot « barbecue ». De nombreuses « origines » sont prêtées à ce mot mais celle qui apparaît la plus probable est la suivante. Ce mot en France serait apparu au cours du Moyen-Age et viendrait de l’expression qui était utilisée à l’époque. L’un des moyens de cuisson les plus populaires de ces temps était les animaux rôtis (particulièrement les cochons) sur le feu de bois : le cochon à la broche. Ainsi, on mettait en broche le cochon. De fait, on insérait la broche par la bouche pour la faire ressortir par l’arrière-train de la bête. 

Cochon de lait


     Par conséquent, cette « tige » partait de la bouche pour aller au « cul » du cochon. Petite information supplémentaire, la bouche était appelée à l’époque la barbe… Et vous avez votre Barbe-cul qui avec le temps et les Anglais a donné notre fameux « Barbecue ».

    Voilà la véritable histoire du barbecue ! Tout de suite maintenant dans les 5 minutes à venir, vous pourrez découvrir l’origine d’une nouvelle expression. A très vite…


A.

mardi 4 juin 2013


« Dis Papa, pourquoi le ciel est bleu ? » N’avez-vous jamais entendu cette phrase autour de vous ne serait-ce qu’une fois dans votre vie ?

     Et bien je vais essayer de vous donner une explication accessible afin de comprendre ce phénomène plutôt curieux. C’est un constat et un fait acquis mais c’est toujours intéressant de connaître l’origine de tels phénomènes.

     Pour commencer, sachez que sans une composante précise, le ciel serait totalement noir ! Cette composante est l’atmosphère. Sans elle, nous serions « presque » comme lorsqu’il fait nuit. Bref, venons-en à cette couleur bleue. L’atmosphère est composée de nombreuses particules (molécules et poussières) qui s’agitent sous l’effet de la lumière et diffusent plus ou moins de couleurs. Il est important de noter qu’une couleur a sa propre longueur d’onde. L’éventail des couleurs est exactement celui de l’arc-en-ciel. Le violet et le bleu ont la plus faible longueur d’onde visible par l’Homme et le rouge la plus grande longueur d’onde.
    Pour expliquer le phénomène qui nous intéresse ici, il faut aborder la diffusion de Rayleigh qui prédit la diffusion des couleurs par les molécules selon leurs longueurs d’onde. Ainsi, c’est le bleu (avec une longueur d’onde plus courte) qui sera le plus diffusé. Au contraire, vous l’aurez compris, le rouge sera beaucoup moins diffusé !
     Prenons le soleil qui émet une lumière blanche, elle-même composée de toutes les couleurs de l’arc-en-ciel. Par conséquent, au contact de l’atmosphère, chaque couleur de sa lumière blanche va être diffusée de manière différente. Le rouge sera peu diffusé donc poursuivra son chemin en ligne droite jusqu’à notre œil. Nous ne voyons pas vraiment le rouge car les autres couleurs font de même. On peut néanmoins apercevoir un léger halo rouge sur le contour du soleil (à ce propos, ne regarder pas le soleil trop longtemps !! Je ne pourrai être tenu responsable de votre cécité ! :D ).
    Quant à la couleur bleue, elle est d’avantage diffusée. Qui dit diffusé, dit dévié dans toutes les directions possibles. Puis chaque déviation sera à nouveau diffusée par d’autres molécules et ainsi de suite… L’effet boule de neige a pris ! Voir le schéma ci-dessous pour mieux discerner ce phénomène de diffusion !




     Comme vous pouvez l’imaginer, toutes ces diffusions successives donneront une couleur bleue sur tout le ciel… La couleur blanche présente autour du soleil correspond à la superposition des autres couleurs qui ont été un petit peu diffusées.
   Vous pourrez également remarquer qu’en montagne, le bleu est plus sombre (on parle de « bleu profond »). Ceci est dû à la qualité de l’air et à une plus faible épaisseur d’atmosphère.

    Enfin, pour terminer, abordons le ciel rouge orangée des levers et couchers de soleil ! Lors de tels phénomènes, le soleil est loin de nous, à l’horizon. Par conséquent, il y a une atmosphère d’autant plus épaisse à traverser pour la lumière ! (voir schéma)


   Ainsi, à force d’être diffusée, la couleur bleue s’est éteinte et seules restent les plus longues longueurs d’onde, à savoir le rouge. La lumière du soleil a été dénudée de toutes les autres couleurs de sa lumière blanche. C’est un ciel rouge orangée qui se présente autour du soleil.
    J’espère que ces explications seront claires et accessibles à tous ! A très vite pour de nouvelles aventures !


A.

dimanche 2 juin 2013



     Chères lectrices, chers lecteurs, ce billet est consacré à l’ordinateur portable Dell XPS 15 version Silver de fin 2012. Il est vrai que ce petit bijou de technologie présente quelques atouts appréciables à la lecture de ses caractéristiques techniques : processeur i7 2.20GHz pouvant atteindre 3.20GHZ avec le Turbo Boost 2.0, écran LCD Full HD 15.6’’, RAM DDR3 de 8Go ; disque dur de 1To + 32Go SSD, lecteur Blu-Ray, CG Nvidia GeForce GT640M de Go, Windows 8… rien que ça !
     Après en avoir pris plein les mirettes, on est en droit de se demander la véritable valeur de cette machine ?

 Design

     C’est un des points forts de la génération 2012, fini les plastiques ‘cheap’ et place à l’alu brossé! Phénomène de mode oblige, le concurrent des Mac Book Pro est beau et épuré (bien que cela reste encore une fois une question de goût). Ne croyez pas vous trouver en possession d’un Mac Book Pro version Windows, ce Dell se différencie de par ses performances.

Ergonomie

     La connectique est correcte bien qu’on apprécierait un port USB sur le flanc droit. Le touchpad est agréable. Cet XPS gère plutôt bien la température et ne surchauffe pas mais la conséquence de ce bon point est immédiate : si des activités normales n’auront strictement aucun effet, un peu de jeu ou de montage photo/vidéo verront le fonctionnement du ventilateur plutôt bruyant. Cependant, ce n’est pas une gêne.
   La gestion du son par WaveMaxx est très bonne et permet d’avoir des effets sympathiques. Cependant, les haut-parleurs ne sont pas exceptionnels et je trouve les sons  en général beaucoup trop graves… rien ne vaut un casque !
    L’écran, quant à lui est moins mauvais que ses concurrents Windows directs. On n’atteint cependant pas la dalle de la marque de la Pomme.

Calculs et Jeux

     L’ordinateur est fait pour ça sans pour autant s’adjuger les qualités d’un PC portable Alienware. Il se défend très bien et permet de faire tourner la plupart des jeux récents avec de très bonnes définitions.

Autonomie (et oui parce qu’il s’agit bien d’un portable ! :) )

       Il tiendra un peu plus de 4h ce qui reste correct pour un tel avion de chasse.

CONCLUSION

    C’est un très bon ordi portable qui vous permettra de vous servir de logiciels gourmands.  En PC portable (mis à part son cousin Alienware), c’est ce qui se fait sans doute de mieux actuellement pour faire tourner toutes les applications les plus contraignantes. Il est tout simplement imbattable sur le rapport qualité/prix ! C’est le concurrent direct des Mac Book Pro et il y est supérieur en terme de puissance pure. Après, cela reste du Windows mais le dernier OS de Microsoft est bien mieux que ce que l’on peut penser. Aurais-je convaincu des utilisateurs Mac avec mon avis ici ?


N’hésitez pas à poser des questions…

A.

samedi 1 juin 2013


     Mesdemoiselles, Mesdames et Messieurs, je vous souhaite la bienvenue sur mon blog. Ce sera mon premier billet et il fera office de présentation générale.

     Je me prénomme Arnaud et je serai l’unique auteur des articles de ce mini site web. Je n’irai pas plus loin dans ma présentation personnelle car ce n’est absolument pas le sujet ici.

     Vous avez la « chance » de découvrir le blog que j’ai décidé d’imaginer, The A’Square.

     Vous pourrez lire ci et là qu’un blog ne doit pas traiter de nombreux sujets pour fidéliser les lecteurs, bla bla bla… J’ai opté pour la diversité et vous offrir un avis sur diverses thématiques. Parmi elles figureront des critiques de films, de séries, des tests de jeux vidéo, des avis sur des livres, mais également un peu de sport, art, tourisme et cuisine. L’un des derniers sujets (l’un des plus agréables il me semble) sera consacré à des anecdotes en tous genres : origines d’expressions, faits divers historiques…
     Tous les avis qui seront présentés ne dévoileront pas l’unique pensée absolue. Ils ne seront que des avis délivrés à titre informatif afin d’aider les lecteurs. En effet, ce que l’un n’aime pas peut être ce que l’autre recherche. Je serai ravi de pouvoir débattre avec vous dans les commentaires.

     J’espère qu’il parviendra à fidéliser certains lectrices et lecteurs tout en permettant d’aider ceux qui ne sont que de passage. Si vous avez peu de temps à consacrer à mon blog aujourd’hui, commencez par les anecdotes et revenez vite !

     Je vous souhaite un agréable moment en la compagnie de mes écrits et à très vite !


A.
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