samedi 24 août 2013


Je suis heureux de vous présenter mon nouveau post de la semaine. C’est une nouvelle anecdote qui prend essence dans une étude scientifique. Le titre est assez explicite. Ainsi, cette étude a montré que nos mains permettaient de dire quel était notre sexe…

Ne vous êtes-vous jamais demandés, en rencontrant une personne, si elle était un garçon ou une fille ? Ne serait-ce qu’un garçon efféminé ou bien d’une fille « garçon manqué » ? Sachez que, pour peu que vous arriviez à observer ses mains, vous saurez de qui il s’agit.

 

Je ne vais pas vous faire attendre plus longtemps. Pour différencier un homme d’une femme à l’aide de l’observation d’une main, il suffit d’avoir les doigts de la main collés. Ensuite, regardez lequel de l’annulaire ou de l’index est le plus long ? Si l’index est plus long que l’annulaire, alors vous en avez une femme face à vous. Si, au contraire, l’annulaire est plus long que l’index, alors cette personne est un homme. Plutôt simple, non ?!

C’est une différence anatomique entre les deux sexes connue depuis l’antiquité et les Romains notamment. Ce sont deux biologistes américains qui, en 2011, ont enfin pu expliquer cette différence. Elle est notamment due aux hormones mâles ou femelles que l’embryon possède lors de son développement. Le test a été mené sur nos amies les souris ! Ainsi, la testostérone serait la raison de l’allongement de l’annulaire.

En conclusion, ces deux doigts spécifiques sont un signe et un lien direct avec la composition hormonale grâce à laquelle nous nous sommes développés. Cette découverte n’est pas juste anecdotique mais est amenée à être une aide indéniable pour les médecins afin de déterminer la cause de certains troubles tels que la dépression, l’orientation sexuelle, les risques cardiaques, etc…

 

Pour ceux qui viennent de comparer la longueur de leurs doigts et qui se rendent compte que celle-ci est en contradiction avec les propos du dessus, je tiens à dire qu’ils n’ont pas à s’inquiéter ! En effet, il se peut que cette règle ne se vérifie pas. Cela voudra juste dire que le mélange hormonal n’était pas « commun » lors du développement. Rien de bien grave ici je vous rassure.

J’espère que vous avez appris une anecdote inédite et vous remercie de cette lecture. A bientôt pour de nouveaux articles !


A.

samedi 17 août 2013


Vous voici à la lecture d’un billet « cinoche », le premier du genre sur mon site. Soyez gentils avec lui, il est tout timide. Vous l’aurez compris, je vais poser mon œil sur Gatsby le Magnifique (The Great Gatsby en VO), film australo-américain sorti cet été 2013. Ce film est une adaptation cinématographique du roman éponyme de F. Scott Fitzgerald publié en 1925. J’ai lu la version originale du roman qui m’a énormément plu. Un texte très bien écrit qui peint une certaine vision de la société américaine au retour de la première guerre mondiale, dans les années 1920. C’est donc avec grand intérêt que j’ai voulu voir l’adaptation offerte par Baz Luhrmann. Je tiens à préciser que la grande majorité des retours que j’ai eus sont plus que négatifs ! Une dizaine de « nul » et un « génial » bien esseulé sont les qualificatifs qui m’ont été présentés. Malgré mon plus vif intérêt, j’avais légèrement peur du résultat.


Mon verdict est simple : c’est un bon film. J’ai pris plaisir à le regarder. Il est loin d’être le film de l’année mais étant donné le bouche à oreille dont il a joui, je m’attendais à un véritable navet. Je vais maintenant entrer dans certains détails qui ont pu me paraitre bizarres. Tout d’abord, ces trente premières minutes que je qualifierais de catastrophique… C’est un parti pris du réalisateur qui a dû séduire ses adeptes inconditionnels, ceux de Moulin Rouge et Roméo+Juliette. Pour ma part, je l’ai détesté ! C’est du trash, bling bling, bien trop rapide et totalement irréaliste. En effet, ce que Fitzgerald a su décrire avec talent et brio au sujet des fêtes exceptionnelles d’un certain milieu aristocratique New-Yorkais dans les années 1920, Luhrmann l’a rendu vulgaire et malintentionné en en faisant des tonnes ! Quelle déception. Il est aussi bien trop rapide, alors que ce début de film/roman permet de planter les bases du décor, le film ne fait que survoler la richesse du texte de l’écrivain américain. Je ne suis pas certain que ceux n’ayant pas lu le livre aient bien compris l’enjeu de l’histoire. C’est donc un gros point noir sur ce début de film. Enfin, l’irréalisme associé, encore une fois une décision bizarre, est omniprésent : que dire des extraits musicaux incompatibles avec l’époque ? Oui oui, il y a bien du rap et du J-Lo lors des fêtes organisées par Gatsby ! J’ai envie de dire : WTF ??!! Autant dire qu’à la fin de ces 30 premières minutes de film, je détestais ce film…


Puis survient alors les 1h30min restantes du film. Le film ralentit, se focalise (enfin !) sur l’histoire et la qualité des dialogues font mouche. Les faibles libertés prises par rapport à l’œuvre originale sont cohérentes et peuvent s’expliquer comme une nécessité pour le film. La distribution est de qualité avec (encore une fois) un très bon Leonardo DiCaprio. Tobey Maguire, notre premier Spider-Man, n’est pas en reste et incarne parfaitement le rôle de Nick Carraway ! Cette fin de film redonne plaisir et nous fait finalement passer un agréable moment. Il est quand même à noter cette contradiction totale des choix de l’auteur. Un début qui fait finalement tâche avec la fin de film. Pourquoi avoir présenté ces deux visions différentes dans un même film ? Je me le demande mais cela donne un sentiment d’incohérence. Il aurait dû conserver le même style tout le long et l’assumer. Si tout le film avait été comme les 30 premières minutes, il ne m’aurait pas plu et aurait plu à d’autres personnes mais il aurait au moins eu le mérite d’être cohérent de A à Z ! On a l’impression que le réalisateur ne savait que faire avec ce film. Sans prendre de réel parti pris et une vision unique, il se perd un peu dans la réalisation de ce film. Un sentiment de brouillon, d’indécis et de fastidieux en ressort. C’est en tout cas mon sentiment.


Ce n’est pas un film que je vous conseillerai à tout prix de voir mais si jamais vous pouvez le voir, regardez-le et vous passerez un bon moment. Comme vous l’aurez compris, je suis plus partisan pour une adaptation fidèle, ce que n’est pas vraiment le film de Luhrmann. L’œuvre de Fitzgerald aurait sans doute mérité un très grand film, on attendra pour ça !

Merci de vos lectures! Bien à vous, 



A.

dimanche 11 août 2013


Me voilà de retour après deux semaines de vacances bien méritées (Je suis certain que vous ne me contredirez pas!).
Je vais aborder avec ce billet une nouvelle série apparue en Juin aux Etats-Unis : Crossing Lines. Elle n'est pas encore diffusée en France mais cet article vous donnera peut-être envie de la regarder quand ce sera le cas.


C'est une co-production Allemande et Française diffusée sur NBC aux Etats-Unis. Oui, le nom "TF1 Productions" apparaît en générique et peut vous faire peur, très peur. C'est un sentiment plus que naturel eu égard aux produits qui en découlent! Je suis le premier à redouter le pire! Mais sachez que c'est une exception ici, sans doute due à la présence d'autres maisons de production étrangères et à un choix de créateurs/scénaristes tout droit venu des meilleures séries outre-Atlantique.


Penchons-nous désormais sur le principe même de la série. C'est une série policière qui reprend tous les bons ingrédients des autres séries à succès. Rien de bien innovant donc, mais qui a le mérite de bien fonctionner. Nous avons une super équipe de flics internationale qui a pour bac à sable l’Europe ! Rien que ça. C’est d’ailleurs un des points intéressants de la série qui se permet de nous offrir divers lieux de plusieurs pays d’Europe. Notre équipe de supers flics regroupent deux français, un irlandais, un allemand, une anglaise, une (splendide) italienne et un américain, chacun spécialiste de son propre domaine ! Chaque personnage aura des problèmes personnels qui viendront s’immiscer lors des enquêtes plutôt bien ficelées. Ces dernières sont classiques mais efficaces ! On suit donc ce « FBI européen » qui se déplace dans les pays d’Europe comme l’original le fait à travers les Etats des Etats-Unis.


Le point fort de la série est essentiellement le casting. Il est rafraichissant et efficace, porté par un William Fichtner des plus crédibles. Je dois vous avouer que j’ai toujours un faible pour cet excellent acteur, très charismatique. On peut souligner la présence de Marc Lavoine dans la distribution qui incarne le leader de l’équipe. Il ne s’en sort pas trop mal (même pour l’anglais !) et je le préfère définitivement en acteur…


Je n’aurais qu’un petit défaut à reprocher à cette série, c’est de ne pas plus utiliser les langues propres aux pays lors de leurs enquêtes. Ils communiquent entre eux en Anglais ce qui paraît logique. Mais souvent, entre deux français, on a droit à de l’Anglais (avec l’accent qu’on nous connait soit dit en passant…) On perd de la crédibilité et de l’immersion. Je préfèrerais entendre deux italiens parlaient l’Italien entre eux avec des sous-titres. C’est d’ailleurs un point qui semble évoluer au fil des épisodes et qui s’oriente comme j’osais l’espérer !


En résumé, le casting est très bon, les histoires très bonnes, des personnages avec un passé lourd (de quoi créer de l’intérêt et leur porter un certain attachement) et un contexte dans notre chère vieille Europe ! Sans révolutionner le genre ni créer de réelle innovation, Crossing Lines mélange les genres avec brio et fonctionne parfaitement. C’est une série efficace. Pour tous ceux qui aiment les Criminal Minds, les New York unité en tout genre saupoudrés d’un peu de Mentalist, ils devraient trouver leur compte !


Vous l’aurez compris, je vous conseille vivement cette série…
Très bonne soirée à toutes et à tous et à très vite pour de nouvelles aventures !



A.
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