Je suis
heureux de vous présenter mon nouveau post de la semaine. C’est une nouvelle
anecdote qui prend essence dans une étude scientifique. Le titre est assez
explicite. Ainsi, cette étude a montré que nos mains permettaient de dire quel
était notre sexe…
Ne vous
êtes-vous jamais demandés, en rencontrant une personne, si elle était un garçon
ou une fille ? Ne serait-ce qu’un garçon efféminé ou bien d’une fille « garçon
manqué » ? Sachez que, pour peu que vous arriviez à observer ses
mains, vous saurez de qui il s’agit.

Je ne vais pas
vous faire attendre plus longtemps. Pour différencier un homme d’une femme à l’aide
de l’observation d’une main, il suffit d’avoir les doigts de la main collés.
Ensuite, regardez lequel de l’annulaire ou de l’index est le plus long ?
Si l’index est plus long que l’annulaire, alors vous en avez une femme face à
vous. Si, au contraire, l’annulaire est plus long que l’index, alors cette
personne est un homme. Plutôt simple, non ?!
C’est une
différence anatomique entre les deux sexes connue depuis l’antiquité et les
Romains notamment. Ce sont deux biologistes américains qui, en 2011, ont enfin
pu expliquer cette différence. Elle est notamment due aux hormones mâles ou
femelles que l’embryon possède lors de son développement. Le test a été mené
sur nos amies les souris ! Ainsi, la testostérone serait la raison de l’allongement
de l’annulaire.
En conclusion,
ces deux doigts spécifiques sont un signe et un lien direct avec la composition
hormonale grâce à laquelle nous nous sommes développés. Cette découverte n’est
pas juste anecdotique mais est amenée à être une aide indéniable pour les
médecins afin de déterminer la cause de certains troubles tels que la dépression,
l’orientation sexuelle, les risques cardiaques, etc…

Pour ceux qui
viennent de comparer la longueur de leurs doigts et qui se rendent compte que
celle-ci est en contradiction avec les propos du dessus, je tiens à dire qu’ils
n’ont pas à s’inquiéter ! En effet, il se peut que cette règle ne se
vérifie pas. Cela voudra juste dire que le mélange hormonal n’était pas « commun »
lors du développement. Rien de bien grave ici je vous rassure.
J’espère que
vous avez appris une anecdote inédite et vous remercie de cette lecture. A
bientôt pour de nouveaux articles !
A.
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